Après des années à chanter les louanges des Lacs du Connemara, Michel Sardou part les visiter pour son premier voyage de retraite !
Après des années à chanter les louanges des Lacs du Connemara, Michel Sardou a finalement décidé qu’il était temps de troquer son micro pour un bonnet de laine et des bottes de pluie, car il part… en Irlande !
Le Grand Départ : C’est officiel, Michel a réservé son billet d’avion. Il a été aperçu à l’aéroport, valise en main, un sourire non dissimulé illuminant son visage. “Il est temps de voir si l’eau des lacs est aussi froide que dans ma chanson,” a-t-il déclaré aux journalistes présents, avant de s’engouffrer dans le terminal.
Les Préparatifs : Avant son départ, Michel a été vu faisant le plein de crème solaire indice 50. “On ne sait jamais avec le climat irlandais,” a-t-il expliqué. Il a également acheté un guide de conversation gaélique, bien décidé à ne pas se contenter de “Sláinte” et “Póg mo thóin” pour communiquer avec les locaux.
L’Arrivée : À peine arrivé, Michel a été accueilli par une averse typiquement irlandaise, ce qui ne l’a pas empêché de chanter à tue-tête “Les Lacs du Connemara”, provoquant la confusion des moutons alentour. Il a ensuite loué une barque, déterminé à naviguer sur les lacs qu’il a tant idéalisés.
La Réalité vs. La Chanson : Contrairement à ses attentes, Michel a découvert que les lacs étaient moins mystiques et plus… marécageux. “C’est un peu plus boueux que prévu,” a-t-il admis, en retirant ses bottes pleines d’eau. Mais fidèle à son esprit aventurier, il a érigé sa tente (avec un peu d’aide) et s’est préparé pour une nuit à la belle étoile, ou plutôt, sous un ciel nuageux.
Le Bilan : Après une semaine, Michel est rentré, un brin moins romantique mais avec une foule d’anecdotes. “J’ai appris deux choses,” a-t-il confié. “Premièrement, les moutons irlandais ne sont pas fans de variété française. Deuxièmement, rien ne vaut son propre lit après une semaine sur un matelas gonflable.”
En somme, Michel Sardou a vécu son rêve irlandais, et même si la réalité a été un peu plus humide que la légende, il ne regrette rien. “C’était ça ou un club de vacances en Floride,” a-t-il conclu avec un clin d’œil. “Et au moins, les lacs, ça ne s’envole pas avec un ouragan.”
Conclusion : Michel Sardou, le barde des temps modernes, a prouvé qu’il n’est jamais trop tard pour vivre ses chansons. Et qui sait ? Peut-être que son prochain album inclura un morceau sur les joies du camping sauvage en Irlande. Restez à l’écoute !
Écrire un commentaire
Fil RSS des commentaires de cet article