L’Appel du 18 Joins : Snoop Dogg est très impatient !

Dans un monde où l’information circule plus vite que la fumée d’un bon vieux blunt, une confusion historique a donné lieu à une situation des plus cocasses.

Snoop Dogg, le rappeur emblématique connu pour son amour inconditionnel de la verdure, s’est retrouvé dans une attente interminable, guettant l’appel du 18 joins.

“Je suis prêt, man”, déclarait Snoop en enfilant son peignoir en velours vert. “J’ai marqué mon calendrier, annulé tous mes rendez-vous, et j’ai même préparé un discours inspirant sur la paix, l’amour et la légalisation. Le 18 joins, ça va être historique!”

Mais voilà, dans son enthousiasme débordant, notre cher Snoop a confondu la célèbre date du 18 juin, jour de commémoration de l’appel à la résistance du Général de Gaulle, avec un événement bien plus… enfumé. Pendant que les historiens se préparaient à honorer la mémoire de la Seconde Guerre mondiale, Snoop, lui, s’apprêtait à célébrer une tout autre bataille : celle de la libération du cannabis.

Les proches du rappeur tentaient de lui expliquer la méprise, mais entre deux bouffées de sagesse, Snoop restait convaincu que le monde entier allait bientôt vibrer au rythme de ses joints. “C’est une révolution verte, baby”, insistait-il, tandis que son entourage échangeait des regards mi-amusés, mi-désespérés.

Finalement, le 18 juin arriva, et avec lui, une vague de célébrations patriotiques. Snoop, perplexe devant l’absence de feuilles à rouler dans les festivités, réalisa peu à peu son erreur. “Ah, c’était pour ça les drapeaux tricolores… Je me disais aussi que c’était un thème de déco original pour une fête du pot.”

L’histoire retiendra que même les légendes peuvent se tromper de date. Mais rassurez-vous, Snoop Dogg n’a pas perdu la face pour autant. Il a simplement décidé de rebaptiser le 18 juin en “18 joins” dans son calendrier personnel, promettant un festival annuel où la seule résistance sera celle de ne pas succomber à la tentation d’un autre joint.

Et quelque part, dans un coin de ciel bleu-blanc-rouge, on imagine le Général de Gaulle lever les yeux au ciel, esquissant un sourire face à cette drôle de quiproquo. Après tout, l’union fait la force, qu’elle soit nationale ou cannabique.